Résumé - Théorème de Fagin pour les machines de Turing des semi-réels

Titre
Théorème de Fagin pour les machines de Turing des semi-réels

Temps
2025-07-24 12:52:10

Auteur
{"Guillermo Badia","Manfred Droste","Thomas Eiter","Rafael Kiesel","Carles Noguera","Erik Paul"}

Catégorie
{cs.CC,cs.LO}

Lien
http://arxiv.org/abs/2507.18375v1

PDF Lien
http://arxiv.org/pdf/2507.18375v1

Résumé

Ce papier présente un modèle de calcul novateur appelé les Machines de Turing de Semiringe (SRTM) et explore leur complexité de calcul, se concentrant spécifiquement sur la classe NP∞(R). NP∞(R) représente les fonctions calculables par les SRTM sur une semirange commutative R. Les contributions clés du papier incluent : 1. **Amélioration du Modèle SRTM** : Le papier présente un modèle SRTM révisé qui surmonte les limites du modèle original, permettant des calculs directs sur les valeurs de semirange sur le ruban. Cela répond à la question de l'expressivité limitée du modèle original et permet le calcul de fonctions telles que les produits conditionnels. 2. **Théorème de Fagin pour NP∞(R)** : Le papier établit un théorème de style Fagin caractérisant NP∞(R) à l'aide de la logique de second ordre existentielle pondérée. Cela fournit une caractérisation logique des séries de puissances qui forment la classe NP∞(R). 3. **Connection à NP(R)** : Le papier établit la relation exacte entre la classe NP(R) d'Eiter & Kiesel et la classe NP∞(R). Il montre que NP(R) peut être capturé par des SRTM avec accès à des fonctions de reconnaissance limitées, tandis que NP∞(R) peut être capturé sans tel accès. 4. **Connection à D'autres Classes de Complexité** : Le papier explore la relation de NP∞(R) avec d'autres classes de complexité quantitatives telles que les classes de compte classique et les classes de complexité pondérée. Il investigate également la complexité des fonctions sur l'alphabet d'entrée vide. 5. **Comparaison avec les Machines de Turing K** : Le papier compare les SRTM avec les Machines de Turing K, mettant en avant leurs différences et leurs forces. Bien que les Machines de Turing K permettent des calculs plus puissants, les SRTM sont plus généraux et peuvent capturer une plus large gamme de problèmes. En général, le papier fournit une analyse complète de la complexité de calcul des SRTM et de leur relation avec d'autres classes de complexité. Il introduit un modèle de calcul novateur et fournit une caractérisation logique de sa classe de complexité, contribuant à la compréhension de la complexité quantitative sur les semiranges.


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